samedi 18 août 2012

La Taille De La Force De Vente

      Après avoir défini sa stratégie et sa structure, l’entreprise est en mesure de fixer la taille de sa force de vente. Celle-ci constitue un atout parmi les plus productifs, mais aussi, les plus coûteux.

La plupart des entreprises fixent le nombre de vendeurs dont elles ont besoin à partir
d’une analyse de la charge de travail. La méthode comporte cinq étapes :
  •  On classe les clients par catégories de volume correspondant à leurs achats annuels (réels ou estimés).
  •  On détermine la fréquence de visite souhaitable pour chaque catégorie (nombre de visite par client et par an).
  •  On calcule la charge de travail globale, exprimée en nombre de visite à effectuer par an (en multipliant le nombre de clients dans chaque catégorie par le fréquence de visite correspondante).
  •  On fixe le nombre moyen de visites qu’un vendeur peut effectuer dans une année.
  •  On obtient le nombre de vendeurs en divisant le nombre total de visites à faire dans l’année par le nombre annuel de visites pouvant être effectuées par un vendeur.
Exemple : une entreprise estime qu’il y a 1 000 clients de type « A » et 2 000 clients de type « B » sur son marché. Un client de type « A » doit être visité 36 fois par an et un client de type « B » doit être visité 12 fois par an. Déterminer le nombre de vendeurs que l’entreprise doit employer à plein temps en supposant qu’un vendeur fait 1 000 visites par an.
Détermination de la charge de travail globale :
(1 000 x 36) + (2 000 x 12) = 60 000 visites
Nombre de vendeur que l’entreprise doit employer à plein temps :
60 000 ÷ 1 000 = 60 vendeurs

La Structure De La Force De Vente

Le mode d’organisation d’une force de vente dépend en grande partie de la stratégie
adoptée. Si elle ne vend qu’un produit à des clients homogènes, l’entreprise optera pour une
structure par secteur. Si de nombreux produits ou marchés sont en jeu, une organisation par
produit ou par client se justifie davantage.

Les principales formes d’organisation de la force de vente :
 
  • La structure par secteur : Selon ce mode d’organisation, chaque vendeur travaille dans un
secteur géographique à l’intérieur duquel, il vend la gamme
complète de produits de l’entreprise.
  • La structure par produit : Il est important de bien connaître son produit.
  • La structure par marché : L’entreprise peut également organiser sa force de vente par type de clientèle. Les clients sont alors classés selon :
− Le secteur d’activité .
− La taille .
− Le volume d’achat .
− L’ancienneté des contrats commerciaux.
  • La structure mixte : C’est la combinaison de plusieurs modes d’organisations.

Les Effets D'un Sur Ou sous Gonflage Des Pneus

  •  Sur gonflage: la bande de roulement se "bombe" et la partie centrale s'usera plus vite que les parties latérales.
Le pneu, qui devient trop rigide dans son ensemble, n'arrive plus à absorber une partie des imperfections du sol et risque d'éclater.

  •  Sous gonflage: la bande de roulement se "creuse" et ses parties latérales s'useront plus vite,l'échauffement des flancs qui s'affaisent peuvent provoquer l'éclatement du pneu.Mauvaise tenue de route.
Le pneu, qui n'est plus aussi serré à la jante, peut déjanter lors de fortes sollicitations.

La Boîte De Vitesses Automatique



 C'est une boîte de vitesses grâce à laquelle le choix et l'enclenchement du rapport de vitesse approprié s'effectue automatiquement sans l'aide du conducteur.

Il y a deux types de boîtes automatiques:

- Boîtes robotisées + embrayage classique.

- trains épicycloïdaux + embrayages multidisques à lamelles + convertisseur de couple.
  •   Avantages:
- le conducteur peut alors prêter toute son attention à la circulation sans être distrait par le maniement assez archaïque d'un levier de changement de vitesse;

- pas de mauvaises manipulations.
- le passage d'un rapport de vitesse à un autre s'effectue plus rapidement qu'avec une boîte manuelle (pour les hauts de gamme).
  •   Inconvénients:
- le convertisseur de couple entraîne plus de consommation.
- moins de frein moteur (pour la boîte automatique classique).





vendredi 17 août 2012

Les Différences Entre un Moteur à Essence et Un Moteur Diesel

Les Pièces Principales Qui Constituent Le Moteur




Pièces fixes:

- La culasse (et le couvre culasse), elle forme la chambre de combustion;
- le cylindre, alésage pratiqué dans le bloc-moteur, le cylindre sert de guide au piston;
- le bloc moteur, forme un boîtier d'une rigidité absolue réalisé à partir d'un seul moule, il possède les fixations qui le maintiennent au châssis, il est la base du montage des pièces qu'il contient, il inclut le bloc-cylindre et le carter supérieur;
- le carter (inférieur), supporte le vilebrequin; assure la fermeture du bas du moteur et le protège, sert de réservoir d'huile;

Pièces mobiles:

- l'équipage mobile (piston, bielle, vilebrequin, volant moteur), assure le déroulement du cycle 4 T et la production du couple moteur;
- soupapes (avec éventuellement les culbuteurs), assurent la fermeture et l'ouverture des orifices d'admission et d'échappement, elles assurent aussi l'étanchéité de ces orifices;
- arbre à cames, grâce aux différentes cames, il permet l'ouverture et la fermeture des soupapes selon leur diagramme de distribution;
- les pompes (huile, eau, carburant), permettent la circulation des liquides;
- la courroie (ou la chaîne) de distribution, relie l'arbre à came au vilebrequin;
- le ventilateur et sa courroie, permet de forcer le passage de l'air au travers du radiateur pour obtenir un meilleur refroidissement.

ESP


 ESP : >>> Electronic Stability Program
         
  >>> Regulation du Comportement Dynamique
       
    >>> Programme de contrôle électronique de stabilité

L’électronique est entrée dans l’automobile par les équipements de confort et la gestion du moteur. Elle n’a investi le domaine du comportement routier qu’une dizaine d’années plus tard avec le système antiblocage de roues ABS. Les performances de celui-ci n’ont cessé de progresser depuis lors, avec des interactions avec le moteur, la transmission ou la charge du véhicule. Sont alors apparus les antipatinages et des programmes spécifiques de comportement en virage, côte et descente.

Rien ne freine le cerveau des ingénieurs, et une extension au contrôle de la tenue de route pour d’autres situations fit son chemin. Ainsi apparut en 1995 le contrôle de trajectoire, appelé de façon plus commerciale « Programme électronique de stabilité » ou ESP (Electronic Stability Program). Cet
équipement est aujourd’hui en cours de démocratisation puisqu’il a équipé 40% des véhicules vendus en Europe de l’Ouest en 2005. Ces performances et sa fiabilité sont d’un tel niveau qu’une grande partie des nouveaux véhicules sont développés exclusivement avec cette assistance qui étend même son emprise vers une gestion plus complète du châssis et vers plusieurs aides à la conduite.

Le système E.S.P. améliore la sécurité active du véhicule sous les aspects suivants:

- Assistance active du conducteur au braquage, surtout dans les situations critiques.
- Meilleure stabilité directionnelle: Respect de la trajectoire et de la tenue de route dans tous les modes de fonctionnement tels que freinage d’urgence, freinage partiel, roulage stabilisé, accélération.
- Amélioration de la stabilité directionnelle dans les plages limites d’utilisation >>> Réaction de peur
et de panique, Ex: braquage extrème, ...
- Meilleure utilisation du pouvoir d’adhérence dans des situations bien précises grâce aux fonction
ABS/ASR et aux fonction MSR (régulation du couple moteur) Grâce au freinage selectif de chacune des roues, par exemple la roue arrière gauche en sous-virage ou de la roue avant droite en sur-virage, le dispositif E.S.P. est de plus autorisé à accélérer les roues motrices par intervention sur le moteur afin d’obtenir la stabilité directionnelle du véhicule.

L’E.S.P. réduit donc le risque de collision, de dérapage ou de tonneau dans les situations critiques
dans la mesure où «les lois de la physique sont respectées»

La Boîte de Vitesse



Située en aval de l'embrayage, une boîte à vitesses comporte un certain nombre de rapports avant (5 ou 6 sur une voiture moderne et 10 à 16 sur un 40 tonnes), rapports dits de démultiplication (réduction) ou de surmultiplication, ainsi qu'une marche arrière.

 Ces rapports sont engendrés par des engrenages qui constituent des systèmes de leviers rotatifs. Un pignon de 10 dents entraînant une roue de 40 dents réalise un rapport de démultiplication de 4, c'est à dire que la roue dentée tournera 4 fois moins vite que le pignon. Comme la puissance est le produit du couple multiplié par la vitesse de rotation, il en résulte que le couple de la roue de 40 dents sera, si l'on néglige les pertes par friction, 4 fois plus important que le couple appliqué sur le pignon de 10 dents.

Pour clarifier, laissons les roues motrices convertir ce couple en force de traction. Cette force est proportionnelle au couple exercé sur lesdites roues. Donc, toutes conditions étant par ailleurs égales, la force de traction est proportionnelle au rapport de boîte. On en déduit aussi que la vitesse du véhicule est inversement proportionnelle au rapport de démultiplication.

Une grande force de traction est nécessaire pour démarrer un lourd véhicule en montée, donc un rapport de démultiplication important (dit "court"). Pour que le moteur ne mouline pas à son régime maximum lorsque le véhicule est lancé en vitesse de croisière et que la force de traction nécessaire est réduite, il faut au contraire un rapport dit "long" – qui peut être surmultiplié.

Et entre ces deux extrêmes, toutes sortes de conditions surviennent et chacune nécessiterait un rapport différent. En pratique, on se contente de compromis car on ne peut multiplier à l'infini le nombre de rapports d'une transmission à engrenages, ne serait-ce que du fait que les nombres de dents doivent nécessairement être entiers.

La Classification Des Huiles Des Huiles Moteur

        Les huiles moteur répondent aux spécifications du C.C.M.C (Comité des Constructeurs du Marché Commun) et sont classées suivant leur viscosité. Nous devons ce classement à la Société des Ingénieurs de l'Automobile des Etats-Unis (S.A.E).
On trouve les huiles suivantes :
  •  LES HUILES MONO GRADES : dont la viscosité est donnée pour une valeur de la température, tel que les huiles SAE 10 W, 15 W, 20 W, 30, 40 et 50.
Exemples de classification :

1 / Une huile classée SAE 10 W:
⇒ 10 : indique la valeur de la viscosité,
⇒ W : indique que la valeur de la viscosité a été mesurée à la température de 0°F (-18°C)

2 / Une huile classée SAE 40:
⇒ 40 : indique la valeur de la viscosité.
⇒ L'absence de lettre indique que la valeur de la viscosité est donnée à la température de 21O°F
(100°C),
⇒ Une huile SAE 40 est plus visqueuse qu'une huile SAE 30 à la température de 210°F.
  •  LES HUILES MULTIGRADES : dont la viscosité est donnée pour deux valeurs de la température.
On trouve les huiles SAE : 10 W 30, 10 W 40, 10 W 50
                                            15 W 40, 15 W 50
                                            20W40, 2OW50


Exemple de classification:
                                             15W                                                    40
                                       viscosité à O°F                                viscosité à 21O°F

jeudi 16 août 2012

Définitions trés importantes dans le domaine commercial


Achat réfléchi

Un achat réfléchi est un achat dans le cadre duquel, l’acheteur effectue généralement une démarche approfondie de recherche d’informations et une phase raisonnée de sélection / évaluation.
Pour un produit dont l’achat est réfléchi, la prise en compte marketing des différentes sources et contextes d’information est très importante.
Assortiment
L’assortiment est constitué de l’ensemble des produits ou références proposés à la vente dans un magasin ou sur un catalogue. Un assortiment se caractérise par sa largeur (nombres de familles ou rayons), par sa profondeur (sous familles ou nombre de produits par rayon) et son ampleur ( nombre total de références résultant de la combinaison largeur X profondeur)
Cible
La cible est la population que l’on souhaite toucher lors d’une action commerciale ou marketing. La cible peut être constituée de clients ou prospects.
La notion de cible est surtout utilisée pour les actions publicitaires et opérations de marketing direct.
La détermination d’une cible marketing précise permet :
de personnaliser le message
d’augmenter l’efficacité de la campagne
de réduire les coûts en évitant les contacts inutiles
de gérer la pression marketing
Ciblage
Le ciblage est l’action de choisir une cible pour une campagne de publicité, de marketing direct ou tout autre action marketing.
Pour une campagne de publicité, le ciblage se traduit par le choix des supports publicitaires permettant une exposition auprès de la cible choisie.
Pour une action de marketing direct, le ciblage s’opère par le biais d’un processus de choix des destinataires opérés au niveau des fichiers utilisés pour l’action marketing.
La démarche de ciblage permet d’augmenter l’efficacité et la rentabilité des actions marketing.
Politique de produit
Elément du marketing mix, la politique de produit comprend les choix relatifs aux caractéristiques des produits, à la politique de gamme, aux choix des marques ou labels, au design et au packaging.
Phase de lancement
Phase du cycle de vie du produit qui correspond à la mise du produit sur le marché. C’est une phase gourmande en besoins de fiancement car les investissements marketing de lancement (publicité, référencement, promotion et animation des ventes,..) sont élevés alors que les volumes de ventes sont encore faibles.
Phase de maturité
[/align][/align]Phase où les ventes évoluent peu dans un univers concurrentiel. La phase de maturité permet normalement d’atteindre une bonne rentabilité.
Phase de relance
Phase du cycle de vie du produit qui correspond à une reprise des ventes. La relance peut être due à une relance marketing du produit (évolution technique, repositionnement, relookage) ou à une reprise autonome du marché.
Politique de différenciation
Politique produit par laquelle une entreprise va différencier son produit vis à vis de ceux de la concurrence par des caractéristiques perçues comme unique par le consommateur. La politique de différenciation permet généralement de s’affranchir des contraintes d’une situation de concurrence et de pratiquer des prix plus élevés.
Image de marque
L’image d’un produit, d’une marque ou d’une société correspond à la façon dont celle-ci est perçue par les consommateurs. Cette perception peut se faire sur des critères objectifs (image de produit haut de gamme à prix élevé) ou subjectifs ( "produit de vieux"). L’image est la résultante des caractéristiques du produit ou de la marque considéré, mais elle est également largement influencée par les actions publicitaires.
Longueur de gamme
La longueur de gamme est obtenue en multipliant la largeur de gamme par la profondeur moyenne de gamme. C’est une notion proche de l’ampleur de gamme.
Notoriété
Pour une marque, la notoriété mesure son degré de présence dans l’esprit des individus. Elle se mesure essentiellement par la mesure de la notoriété spontanée et assistée.

Positionnement
Le positionnement est un terme dont la définition peut varier selon le contexte d’usage. Dans son usage dominant, le positionnement correspond à la position qu’occupe un produit dans l’esprit des consommateurs face à ses concurrents sur différent critères (prix, image, caractéristiques). Dans une logique volontariste, le positionnement peut désigner le positionnement recherchée par l’entreprise et non celui perçu par les consommateur. Enfin, dans une optique d’action (usage rare), le terme peut désigner l’ensemble des actions entreprises pour obtenir la position souhaitée dans l’esprit des consommateur. Le positionnement des différents offreurs sur un marché peut être visualisé grâce à une carte conceptuelle.

Etude documentaire
Une étude documentaire est une étude à vocation commerciale ou marketing se matérialisant par un travail de collecte des informations préalablement disponibles sur le sujet.

Etude quantitative
Une étude quantitative est une étude des comportements, attentes ou opinions réalisée par questionnaire auprès d’un échantillon de la population étudiée et dont les résultats chiffrés sont ensuite extrapolés à l’ensemble de la population étudiée.
Les études quantitatives sont généralement menées auprès de quelques centaines à quelques milliers d’individus.
Etude qualitative
Une étude qualitative est une étude destinée à recueillir des éléments qualitatifs, qui sont le plus souvent non directement chiffrables par les individus interrogés ou étudiés.
Une étude qualitative est le plus souvent réalisée par des entretiens collectifs ou individuels menés auprès d’échantillons réduits. Elle vise généralement à comprendre en profondeur des attitudes ou comportements.
Panel
Un panel est un échantillon permanent et représentatif de consommateurs, professionnels ou points de ventes volontaires qui transmettent régulièrement de manière active ou passive des données relatives à leurs comportements (achats, ventes, emissions regardées, sites web visités,..) à la société d’étude ayant mis en place le panel.
Par son caractère périodique, un panel permet de mettre en évidence des tendances et évolutions. Le recueil des informations peut être automatisé (Mediamat, passage en caisse, navigation Internet) ou déclaratif (scannage des produits achetés, réponses questionnaires).

Bien de consommation courante
Un bien de consommation courante est un bien de consommation dont la fréquence d’achat est élevée.
Les biens de consommation courante sont entre autres :
les biens alimentaires
les produits d’entretien
les produits d’hygiène ...

Bien durable
Un bien durable est un bien qui n’est pas détruit lors de son utilisation et qui connaît généralement une usure sur le long terme.
Les biens durables sont généralement des biens d’équipement du foyer, de la personne, mais également des biens telle qu’une voiture.
Bien d’équipement entreprise
Un bien d’équipement est un bien utilisé dans le cadre de l’appareil de production (machine, accessoires,...).
Bien de consommation
Un bien de consommation est un bien qui est consommé totalement ou partiellement lors de son usage (aliment, lessive,..) par le consommateur final.
On parle également de biens de consommation courante pour les biens de consommation achetés fréquemment.

Chiffre d’affaires
Le chiffre d’affaires d’une entreprise est constitué du montant total des ventes facturées sur une période donnée. Le chiffre d’affaires est normalement calculé hors taxes.
Le chiffre d’affaires est donc un indicateur d’activité et non de rentabilité.
La mesure du chiffre d’affaires permet d’analyser l’évolution de l’activité dans le temps. A cette fin, on peut différencier le chiffre d’affaires en volume et en valeur pour effacer l’effet prix. En effet, le chiffre d’affaires d’une entreprise peut progresser alors que son activité est stable si le prix des produits est en hausse.

Coût fixe
Un coût fixe ou coût ou frais de structure est un coût qui ne varie pas proportionnellement au volume d’activité mais qui varie par palier.
Les amortissements d’un bâtiment ou d’une machine sont par exemple des coûts fixes, car ils ne varient pas tant qu’ils ne sont pas utilisés au maximum de leur capacité. Au-delà d’un certain volume de production, il faut cependant agrandir les bâtiment ou acheter une nouvelle machine.
Pour les entreprises ayant une grande partie de leurs coûts sous forme de couts fixes, une augmentation des volumes vendus a généralement un impact fort sur la rentabilité (toutes choses égales par ailleurs).
La notion de cout fixe peut également être appliquée à des investissements marketing. La création graphique d’une newsletter est ainsi un coût fixe dans le cadre d’une campagne email.

Coût variable
Un coût variable est un coût qui varie plus ou moins proportionnellement à l’activité de l’entreprise.
Les coûts d’achat des matières premières ou les frais d’expédition sont des coûts variables qui augmentent lorsque les ventes en volume augmentent. Dans ce cas, il faut noter que l’augmentation des coûts d’achats n’est pas forcément strictement proportionnelle à celle de l’activité, car l’augmentation des volumes de production peut permettre d’obtenir de meilleures conditions d’achat des matières premières.
On distingue généralement les coûts variables et les coûts fixes ou coûts de structure. Plus la part des coûts fixes est importante plus une augmentation des volumes de ventes permet d’accroître les résultats de l’entreprise par une réduction du coût de production unitaire.
La notion de couts variables peut également s’appliquer aux investissements liés aux campagnes marketing.
Les frais de location de fichier et les coûts d’affranchissement sont par exemple des couts variables dans le cadre d’une campagne de marketing direct postal.

Escompte
L’escompte est une réduction principalement utilisée dans le domaine du commerce inter-entreprise en échange du paiement comptant d’une facture.
Marge
Différence entre un prix de vente (HT) et un prix d’achat (HT).

Marge commerciale
La marge commerciale ou marge brute correspond pour un commerçant à la différence entre le prix de vente HT et le prix d’achat HT auprès du fournisseur.
La somme des marges commerciales doit permettre de couvrir les frais fixes et les frais de fonctionnement.
Les marges commerciales sont très variables selon les produits et les types de commerces.
Elles sont de quelques % dans la grande distribution sur les produits alimentaires et peuvent atteindre 50 ou 60 % (voir nettement plus) dans la distribution textile.

Marge brute (commerce)
La marge brute d’un commerçant correspond à la différence entre le prix de vente d’un produit et son prix d’achat.
Marge brute = PV HT - PA HT.
La marge brute doit normalement couvrir les frais de commercialisation (locaux, personnels, stock...) pour que le commerçant réalise un bénéfice sur la vente.

Acheteur
L’acheteur est l’individu qui achète le produit.
L’acheteur ne se confond par forcément avec l’utilisateur / consommateur et n’est pas forcément le décideur.
Dans certains cas, comme par exemple celui du jouet (sauf pour les jouets éducatifs et ceux destinés au premier age), le responsable marketing s’adresse d’avantage à l’utilisateur / décideur qu’à l’acheteur. Il peut également s’adresser aux deux avec des arguments différenciés.
La distinction acheteur / utilisateur-prescripteur est également très importante dans le domaine du commerce inter-entreprises ( B to B).

Prospection
Ensemble des actions qui vise à identifier de nouveaux clients potentiels et à les tranformer en clients réels (prospection-vente).

Remise
Réduction du prix généralement attribuée en fonction de la qualité de l’acheteur. Les conditions générales de ventes d’espaces publiictaires prévoient ainsi généralement une remise professionnelle de 15 % pour les agences intermédiaires.

Ristourne
Réduction attribuée en fin d’année et dont l’ampleur est basée sur le montant total des commandes réalisées sur l’année.
Rabais
Réduction de prix attribué en prenant en compte un problème de qualité ou d’inadéquation du produit face au besoin. Le rabais peut être attribué avant la vente ou parfois suite à une réclamation du client.

Prospect chaud
Client potentiel de l’entreprise ayant récemment exprimé un intérêt pour l’offre de l’entreprise ou une intention d’achat dans le domaine d’activité de l’entreprise.

Prospect
 Client potentiel de l’entreprise.
 
Portefeuille clients
Un portefeuille clients désigne l’ensemble des clients dont un commercial a la charge. Le terme est notamment très utilisé dans le secteur bancaire pour désigner les clients gérés par un conseiller clientèle. Le responsable de portefeuille a pour mission de fidéliser, valoriser et développer son portefeuille clients.

Force de vente
La force de vente désigne l’ensemble des salariés d’une entreprise participant à la commercialisation des produits ou services.
Dans la pratique, la notion de force de vente désigne souvent les commerciaux itinérants, mais elle peut également englober les vendeurs en magasins ou les vendeurs assis (banque, assurance).

Force de vente externe
La force de vente externe désigne les individus participant à la commercialisation des produits ou services sans être salariés directement par l’entreprise.
Il peut s’agir de vendeurs ou animateurs salariés par des sociétés prestataires de services ou dans une acceptation plus large des vendeurs salariés des distributeurs.

Force de vente supplétive
Une force de vente supplétive est une force de vente fournie par un prestataire pour renforcer ponctuellement la force de vente interne.
Le recours à un force de vente supplétive permet de gagner du temps dans le déploiement de l’effort commercial et de réaliser éventuellement des économies sur les frais de structure.
Une force de vente supplétive peut être utilisée pour des lancements de produits, des tests ou des efforts ponctuels de référencement en distribution.
La force de vente supplétive se distingue de la force de vente externalisée par son caractère théoriquement plus ponctuel et complémentaire.

Décideur
Le décideur est la personne disposant du pouvoir de décision lors du cycle ou de l’action d’achat.
L’identification du décideur ou des décideurs est particulièrement importante dans le marketing B to B ou les cycles d’achat sont souvent longs et complexes.

Economie d’échelles
La présence d’économies d’échelles désigne le fait que le coût de production unitaire d’un produit ou service baisse lorsque la production augmente.
Les économies d’échelles favorisent la domination par les coûts ou les marges des leaders d’un marché.

Les Avantages et Les inconvénients d'un Diesel pour une Véhicule


Inconvénients

Avantages
Poids élevé
Meilleur rendement,
une plus grande quantité de chaleur est convertie en TRAVAIL
Prix d'achat élevé
Couple moteur chutant moins avec une baisse de régime
Bruyance relative
Gaz d'échappement moins polluants
Entretien plus élevé
Prix/km plus avantageux
Odeur relative des gaz d'échappement
Risque d'incendie moins élevé

Plus-value sur le marché de l'occasion

Un Tableau Comparatif entre DIESEL et ESSENCE




ADMISSION
COMPRESSION
Combusiton/Detente
Echappement



Essence
Aspiration d’un mélange
air-essence dont le volume
est variable selon la demande.

Pression fin compression de 10 à 15 bars.
T° = 300 - 400 °C
Rap. vol.: 8 à 11 / 1

Combustion déclenchée par un apport de chaleur (étincelle à la bougie).

Evacuation des gaz brûlés. Polluants:
CO
HC




Diesel
Aspiration d’air à un volume correspondant à peu près au volume du cylindre.

Pression fin compression de 30 à 40 bars.
T° = 600 - 700 °C
Rap. vol.: 14 à 24 / 1

Combustion
par auto-inflammation (injection du gasole pulvérisé dans l’air surchauffé)

Evacuation des gaz brûlés. Polluants:
NOx
Particules






CONSEQUENCES
POUR LE MOTEUR DIESEL

- Pas de papillon des gaz.
- Remplissage
- Pas de carburant.

Nécessité d’organes plus solides.
Meilleur circuit de graissage
Þ Coût de revient élevé

Introduction du combustible selon la demande aux environ du PMH
avec combustion lente.
Pas de système d’allumage.
Nécessité d’une pompe haute pression
extrêmement précise.

Pression fin de combustion
plus élevée.
Dimensions des tubulures
plus importantes.